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Living in Belgium , ex- expats Congo borned Kolwezi, staying there all chilhood untill 21 years , members Lions Club , Retriever Club,Cap 48 My 2 great - fathers was Belgian but one from Wallonia the other from Flanders . Passion Retriever, having 2 golden, one cat blue, Member Lions Club ,retriever club

Vie dangereuse des creuseurs de Kasulu et insécurité à Kolwezi après la découverte d’un gisement de cobalt

 

Un quartier de Kasulu, Kolwezi "vie de misère, d'insécurité" des creuseurs artisanaux.







Des centaines de creuseurs artisanaux ont envahi, depuis plusieurs mois, le quartier Kasulo, dans la commune Manika, à Kolwezi (Katanga), à la recherche   de cuivre et de cobalt. Les propriétaires des parcelles de ce quartier accordent à des creuseurs l’autorisation d’exploiter leur concession, en échange de 30 à 40% du montant de la vente de leur butin.Craignant d’éventuels éboulements, le maire de Kolwezi à interdit cette exploitation artisanale.


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Le quartier résidentiel de Kasulo s'est transformé en carrière où des milliers de mineurs se pressent.
Capture d'écran d'une des vidéos envoyées par l' Observateur Valéry Ipanga. 



SOURCES:
Article rédigé en collaboration avec Alexandre Capron (@alexcapron), journaliste aux Observateurs de FRANCE 24 et vidéos par par l' Observateur Valéry Ipanga.   
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Des centaines de creuseurs artisanaux ont envahi un quartier de Kolwezi, ville du sud de la République démocratique du Congo, après la découverte d’un gisement de cobalt sur des parcelles résidentielles. Notre Observateur sur place explique que le sol de ce quartier est devenu un dangereux gruyère.

Kolwezi est une ville réputée pour ses gisements miniers d’hétérogénite, une espèce minérale potentiellement radioactive qui contient de l’aluminium ; du cuivre mais surtout du cobalt. Très prisés, ces minerais sont recherchés par des creuseurs artisanaux qui exploitent ces territoires pour revendre leur butin à de très nombreuses compagnies minières, la plupart du temps chinoises, implantées dans la région.

Au mois de juin, un habitant du quartier Kasulo, situé à 4 kilomètres du centre ville de Kolwezi, découvre accidentellement que son sous-sol regorge de ces précieux minerais alors qu’il creusait une fosse sceptique. Alertés par la nouvelle, plusieurs habitants du quartier entreprennent des fouilles et découvrent que c’est l’ensemble de la zone qui regorge de cuivre et de cobalt. Malgré l’interdiction faite par la municipalité le 18 juillet, les trous béants se multiplient dans le quartier. Mais les fouilles, non encadrées, ne sont pas sans conséquences : cinq creuseurs sont décédés fin juillet dans des éboulements.




 Pour plus d’info sur la ville de Kolwezi, veuillez visiter le site web officiel de la ville  http://kolwezi.alwaysdata.net

Toutes les vidéos ont été tournées par notre Observateur Valéry Ipanga entre le 21 et le 24 juillet.
Contributeurs









"Personne n’a l’intention de libérer les lieux tant qu’il y aura encore une once de cobalt ou de cuivre"

Valéry Ipanga est informaticien pour une société minière et habite dans le quartier voisin à Kasulo où les gisements de cobalt et de cuivre ont été découverts.


Tout savoir sur la ville de Kolwezi



 Quasiment tous les habitants de Kasulo [un quartier d’environ 10 000 habitants, NDLR] ont creusé sur leur parcelle pour essayer de trouver des minerais. C’est un quartier pauvre, où le taux de chômage est très élevé, et cette découverte est un cadeau du ciel pour beaucoup d’entre eux. Le prix du minerais varie en fonction de la teneur en cobalt, mais la tonne peut rapporter entre 1 000 et 5 000 dollars [entre 750 euros et 3 700 euros]. Certains n’ont pas hésité à casser leur maisons à la hache pour creuser des énormes trous. D’autres creusent eux-mêmes dans leurs chambres à l’abri des regards.

La plupart ont embauché des creuseurs artisanaux avec qui ils partagent jusqu’à 50 % du butin trouvé quotidiennement. En général, ils sont recrutés par équipes de 5, et ils se relaient non stop pendant 12 heures de travail, la première de 6 à 18 heures et la deuxième de 18 heures à 6 heures du matin le lendemain. Du coup, dans le meilleur des cas, ils arrivent à extraire entre une à deux tonnes par jour !
"Un pasteur et ses fidèles ont même creusé autour et dans une église !"

Il faut creuser au minimum 6 mètres de profondeur pour trouver les premières traces de minerais. La particularité de l’hétérogénite est que plus vous creuser, plus vous trouvez de la matière dense en cobalt ou en cuivre. La conséquence c’est qu’on voit des trous très impressionnants, certains descendant jusqu’à une quinzaine de mètres de profondeur. Dans une église du quartier, le pasteur et les fidèles se sont mis d’accord pour creuser des trous béants autour et même dans l’église pour chercher le cobalt… et le dimanche, ils célèbrent la messe comme si de rien n’était. 



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Des habitants n'ont pas hésité à raser des parties de leur maison pour entreprendre les fouilles.

  
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L’érosion risque de provoquer des éboulements et de ravager les dernières maisons encore debout "


La mairie a d’abord toléré les fouilles, puis est intervenue car certains creusements commençaient à se faire sous les routes. Le problème, c’est que ces parcelles ont été légalement achetées par des habitants au cadastre local. Ils ont donc le droit d’en faire ce qu’ils veulent, puisqu’ils sont chez eux ! Le gouvernement du Katanga a pourtant lancé un ultimatum d’un mois aux creuseurs pour quitter les lieux en promettant de leur trouver un nouvel endroit où ils pourront poursuivre leurs activités. Mais sur place, très peu sont au courant de la mesure, et personne n’a l’intention de libérer les lieux tant qu’il y aura encore une once de cobalt ou de cuivre.

Même s’ils sont minoritaires, certains résidents – souvent ceux qui n’ont pas trouvé de cobalt sur leur parcelle - se plaignent des conséquences probables de ces fouilles anarchiques. La saison des pluies va bientôt arriver [à partir d’octobre jusqu’en décembre, NDRL] et avec l’érosion, on ne sait pas du tout comment les terrains très sablonneux vont réagir. Il y a de fortes probabilités d’éboulements qui risquent de ravager les dernières maisons encore debout. Ne parlons même pas de la radioactivité des minerais qui pourrait poser un problème de santé publique dans les années à venir.



L'Observateur discute avec des creuseurs qui lui expliquent comment ils s'organisent par équipe
 pour creuser jour et nuit et que des différents éclatent parfois entre des propriétaires de parcelles.

Selon la Chambre des mines de la République démocratique du Congo, la RDC dispose d’entre 2,5 et 3,5 millions de tonnes de cobalt, ce qui représente 60 à 75 % du cobalt mondial. Des ressources qui attirent les convoitises de creuseurs qui opèrent souvent de façon illégale : en juin dernier, un conflit minier avait été réglé à l’arme à feu par la police à Kawama, au sud de Kolwezi. 




Au Katanga, près d'un aveugle sur deux pourrait retrouver la vue!



 Source le vif be l'express: Muriel Lefevre








 



La République Démocratique du Congo compte plus de 800.000 aveugles et trois millions de malvoyants. Afin d’améliorer la situation, l’ONG Lumière pour le monde s’efforce, depuis 2009, de mettre en place un réseau de petites unités ophtalmologiques dans ce pays vaste comme un continent . 










Le Katanga, cette province de la RDC qui fait plus de seize fois la Belgique, possède l'un des sous-sols miniers les plus riches du monde. Convoitée par les plus grandes puissances occidentales et asiatiques, cette région abrite une population extrêmement pauvre qui souffre d'un manque criant d'infrastructures sanitaires. Le Congo est aussi le pays qui affiche le plus important pourcentage d'aveugles au monde. Pourtant, pour plus de 50% d'entre eux, une simple opération pourrait leur rendre la vue.







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Immaculée et son frère souffraient tous deux de cataracte congénitale © Lumière pour Le Monde
Ce 9 octobre 2014, nous célébrons la Journée Mondiale de la Vue. 






En parcourant les rues de l'ancienne cité pour mineurs de Kipushi, non loin de Lubumbashi, on ne peut que constater la décrépitude des lustres d'antan. Les bâtisses sont vétustes et les routes asphaltées ne sont plus qu'un lointain souvenir. Dans cette région à la terre rouge et sèche, tout semble endormi, comme pour mieux être recouvert par la poussière.


  C'est dans une petite maison de Kipushi, au cœur de ce qui ressemble fort à un bidonville, que vivent Kasadi Mulenga, sa femme et ses 4 enfants. Trois étaient pratiquement aveugles de naissance suite à une cataracte congénitale, l'une des causes de cécité les plus courantes en RDC qui compte près de 25.000 enfants aveugles. Kasadi souffre, lui-même, de cette maladie. Mais une opération ratée à l'âge de 6 ans a mis fin à ses espoirs de retrouver, un jour, une bonne vue.




 famille Mulenga, © Lumière Pour le Monde
La famille Mulenga © Lumière Pour le Monde  


Comme de nombreux pères, Kasadi souhaite que ses enfants suivent une scolarité normale. Pourtant, la cécité de ces derniers hypothéquait gravement ce souhait. Refroidi par l'échec de sa propre opération, Kasadi était, en effet, très sceptique sur le bienfondé d'une intervention pour rendre la vue à ses enfants.


Au Katanga, la mission d'information est aussi importante que les soins. Le handicap est souvent tabou en Afrique, et de nombreux malades hésitent à se faire opérer. Certains aveugles ou malvoyants pensent que la cécité est une punition divine ou une "sorcellerie" contre laquelle rien n'est possible. Ou encore que se faire soigner est un luxe réservé aux nantis. En n'oubliant pas les trop nombreux charlatans qui font plus de mal que de bien et donnent une réputation douteuse aux personnels soignants. Plus graves encore, d'étranges rumeurs circulent autour des opérations oculaires. Comme celle qui prétend que l'on remplace les yeux des malades par des yeux chiens, de porcs ou de chats.

Le bus de Lumière pour le Monde qui permet de transporter les patients
Le bus de Lumière pour le Monde qui permet de transporter les patients © Lumière Pour le Monde

C'est dans ce contexte de méfiance généralisée que les cliniques mobiles jouent un rôle de première ligne en parcourant les villages à la recherche de personnes aveugles ou malvoyantes. En leur fournissant aide et conseils, elles effectuent un travail de prévention et de soins capital. Car souvent les gens ignorent qu'il existe une méthode sûre et efficace à leur problème. Kasadi Mulenga, le jeune père de famille, avoue que c'est sa femme qui a réussi à le convaincre de laisser ses enfants se faire opérer.

Lorsque nous rencontrons la famille Mulenga, cela fait près d'un an que les trois enfants ont subi l'intervention. S'ils portent des lunettes- comme c'est souvent le cas pour les enfants qui sont opérés de la cataracte afin d'éviter des complications et un oeil paresseux- ils peuvent désormais suivre une scolarité normale. Comme le précise Immaculée, 9 ans, "Je suis heureuse qu'on ne m'appelle plus la Chinoise". Un surnom hérité du plissement répété de ses yeux pour mieux y voir.



 Il n'y a que quatre médecins qui savent opérer la cataracte infantile.









Le docteur Richard, qui opère plusieurs fois par an des enfants dans la Clinique Ophtalmologique Sainte Yvonne, insiste sur le fait qu'il est primordial de s'attaquer au problème dès le plus jeune âge, puisque jusqu'à leur huit ans, les enfants sont encore dans l'âge sensitif, soit l'âge où le cerveau peut réapprendre à voir. Mais il est préférable d'opérer l'enfant avant ses 6 ans pour lui permettre de récupérer un maximum de capacité visuelle. Il est donc primordial pour leur avenir d'opérer les enfants au plus tôt. Ce n'est pourtant pas une évidence.
En effet, au Congo seuls quatre ophtalmologues sont capables d'effectuer les délicates opérations infantiles. Le docteur Richard opère un enfant de 18 mois de la cataracte .

Le docteur Richard opère un enfant de 18 mois de la cataracte
Le docteur Richard opère un enfant de 18 mois de la cataracte © Lumière Pour le Monde 

Si pour les enfants la situation est catastrophique, ce n'est pas mieux pour les adultes. Dans un pays où 1 % de la population est aveugle, soit l'un des taux les plus importants au monde, il n'y a que 104 ophtalmologues, 66 opérateurs de la cataracte (OPECAT) et 196 techniciens supérieurs en ophtalmologie. Cette pénurie massive a pour conséquence que près de 600 000 aveugles (on estime qu'il y a entre 492 et 675.000 aveugles en RDC) et 4 millions de malvoyants ne sont pas soignés correctement. C'est d'autant plus regrettable que 80% des cas de cécité pourrait être évité ou guéri sans moyens colossaux. En effet la cataracte, par exemple, est quelque chose de réversible et 50% des personnes touchées par cette maladie pourrait retrouver la vue suite à une opération peu onéreuse, effectuée sous anesthésie locale et réalisée en moins d'une demi-heure.


On anesthésie l'oeil d'une patiente qui s'apprête à se faire opérer.
On anesthésie l'oeil d'une patiente qui s'apprête à se faire opérer. © Lumière Pour le Monde


Les chirurgiens de la clinique Sainte Yvonne utilisent les techniques opératoires les plus modernes comme la phacoémulsification. Une technique qui fragmente le cristallin pour pouvoir l'expulser par morceau. Ce dernier est ensuite remplacé par une lentille pliable. Un procédé qui réduit les incisions dans l'œil et donc les risques d'infections. Contrairement à ce que l'on pourrait croire à la vue des bâtiments vétustes, les conditions d'hygiène sont très correctes et l'on ne constate que peu d'infections liées à l'opération. Ce qui n'est pas le cas de tous les hôpitaux.


La cataracte .

            La cataracte est la principale cause de cécité en Afrique. Elle rend 18 millions de personnes aveugles dans le monde. Pourtant, dans la majorité des cas cette maladie est réversible. La cataracte est une opacification du cristallin qui donne l'impression de vivre dans un brouillard permanent. Alors que dans nos contrées la cataracte est une maladie souvent liée à l'âge, en Afrique les enfants en souffrent aussi. Parfois, celle-ci est congénitale et est la conséquence d'un trouble du développement du cristallin ou d'une infection lors de la grossesse. Mais elle peut aussi apparaître plus tard de façon héréditaire ou accidentelle suite à un coup ou encore comme corollaire au diabète. Plusieurs facteurs peuvent donc causer cette maladie, mais un seul remède est efficace et il consiste à remplacer le cristallin par une lentille de synthèse. Simple et peu chronophage, l'opération a aussi un effet immédiat puisque dès le lendemain le patient retrouve la vue. Les enfants auront néanmoins besoin de suivre une thérapie visuelle et de porter de lunettes pour réapprendre à utiliser la vue retrouvée. Cette thérapie intervient également auprès des enfants ayant une basse vision définitive, qui ne peut plus être améliorée par une intervention chirurgicale. 


Une aide durable

Nombre d'ophtalmologues diplômés de RDC n'ont jamais ou presque effectué une opération de la cataracte. C'est pourquoi, au-delà des services offerts et de l'aide ponctuelle de certains médecins, il est primordial de former le personnel pour pérenniser l'aide à travers le temps. C'est l'une des missions de Lumière pour le monde, une ONG belge qui s'est spécialisée dans l'aide aux aveugles en Afrique et l'une des rares présente au Katanga. Mais l'association ne s'applique pas seulement à former le personnel pour les hôpitaux mobiles, les ophtalmologues et autres techniciens de la vue qui offrent des lunettes à ceux qui ont juste besoin d'une paire de lunettes adaptées. Elle organise aussi, en collaboration avec des réseaux locaux, l'insertion des enfants malvoyants dans les écoles et aide ceux qui n'arrivent pas à se payer des soins. En effet, malgré le fait que les hôpitaux partenaires de l'ONG ( il y en a trois : à Lubumbashi, Likasi et Mbuji-Mayi) pratiquent des prix très démocratiques (40 euros pour un oeil opéré de la cataracte, ce qui représente le cout réel d'une telle opération), certains patients n'ont pas les moyens et sont alors financièrement aidés.





La clinique ophtalmologique Sainte Yvonne  ,La clinique ophtalmologique Sainte Yvonne © Muriel Lefevre
La clinique ophtalmologique Sainte Yvonne © Muriel Lefevre 



Grâce au principe de Robin des bois - ceux qui le peuvent payent plus cher des services plus luxueux comme une chambre individuelle ou de plus belles lunettes -, l'hôpital, tout en pouvant offrir des services à prix réduits ou gratuits, est autosuffisant à hauteur de 60%. Le 40% restant étant subsidié par l'ONG. Un équilibre financier qui semble prometteur pour le futur.

Devant la réelle misère qui règne au Congo, il ne s'agit là pourtant que d'une goutte d'eau, et d'aucuns pourraient se demander si en agissant ainsi à leur place on ne dédouane pas les autorités locales de leurs carences en matière d'aide à la population. Reste que sur place, on ne peut que constater - devant le sourire et la reconnaissance des patients - l'utilité de ce genre d'initiative. Loin d'être anodin, rendre la vue a tout du miracle. Un miracle qui permet aux aveugles et malvoyants d'envisager leur avenir plus sereinement et de mieux lutter contre la précarité.



Qu'est-ce Lumière Pour le Monde ?
                
Lumière pour le monde est une ONG belge qui lutte contre la cécité et pour l'amélioration de la qualité de vie des personnes avec un handicap visuel. Bien qu'elle concentre son action sur la prévention et la guérison de la cécité, elle souhaite aussi défendre le droit des personnes handicapées visuelles en Afrique ainsi que leur insertion dans la société tout en aidant à la formation d'un personnel soignant qualifié. Elle fait partie d'une confédération plus large avec des organisations "sœurs" en Autriche, aux Pays-Bas et en République tchèque. Elle est active au Burkina Faso, en République Démocratique du Congo, au Rwanda et en Tanzanie. Elle n'est propriétaire d'aucun hôpital et agit sur base de partenariat pour soutenir des institutions et du personnel local, et ce afin d'offrir une aide durable. Fonctionnant principalement sur base de dons, et suivant le principe que même de petites contributions peuvent faire la différence, elle a besoin de la générosité de chacun pour poursuivre son œuvre. 






  Click in picture for site.
http://www.lightfortheworld.be/home




Video Info catho be :Luc Tielemans

   


                

 Dr Jos Rommel,Papa Jos' wordt zeer gewaardeerd voor zijn inbreng.


 Le docteur Jos Rommel est déjà pensionné depuis quelques années, mais sa spécialité de médecin oculiste l’amène ces derniers temps plus fréquemment en Afrique. Il collabore avec l’organisme de développement ’Lumière pour le Monde’ pour lutter contre la cataracte. La cataracte due à l’opacification du cristallin est assez facilement remédiable.
Au Congo cela se termine très souvent par la cécité. La moitié des aveugles le sont devenus par la cataracte. 
Le Dr Rommel a déjà fait son quatrième voyage pour Lubumbashi au Congo dans la Province du Katanga pour former des médecins dans la clinique d’ophtalmologie Sainte-Yvonne. Y travaillent un ophtalmologue, trois médecins et vingt aides-soignants. ’Mais leur formation laisse à désirer et c’est pour cela que je les assiste et que je les forme.’ la clinique de papa Jos grâce à des dons a aussi reçu un laser.



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